Un nouvel éclairage sur Frédéric Rouge
Insensible aux modes, mais fidèle à sa conception de l’art, Frédéric Rouge, attaché à son coin de pays comme le chasseur et le pêcheur qu’il fut, parvint à poursuivre son « petit bonhomme de peinture » tout en saisissant l’essence de l’âme des Vaudois.
Frédéric Rouge | B. Favre et G. Montangero
CHF75.00Prix
- De Frédéric Rouge, qui ne connaît pas La leçon de taille, son Braconnier ou encore son Retour du bûcheron? Ces images d’une époque révolue – lenteur, suprématie de la nature, territoire peu peuplé, exempt d’industrie et de mécanisation – relèvent de la mémoire collective en Suisse romande.
Elles témoignent d’un talent certain, d’une approche classique de l’art de peindre, d’un amour avéré d’une région et des métiers de ses habitants.
Rouge fut, comme son confrère et contemporain Eugène Burnand, en parfaite harmonie avec sa terre. Tous deux restèrent indifférents aux nouveaux courants picturaux – impressionnisme, pointillisme, expressionnisme, fauvisme, cubisme et autres – qui soufflèrent dans leurs jeunes années et modifièrent à jamais notre façon de voir.
130 reproductions, 24 x 30 cm, 136 pages, ISBN: 9782940251728